Quelle reconversion pour un mannequin femme en fin de carrière ?

Publié le : 30 juillet 20183 mins de lecture

Mannequins, muses, inspiratrices, voire séductrices, elles ont, tour à tour, écrit leur page dans l’histoire du mannequinat. Certaines ont su passer du statut de mannequin à celui de femme d’affaires, en utilisant leur notoriété-éclair pour entamer une seconde carrière. Leur conversion a, souvent lieu dans le milieu de la mode.

Reconversion d’un ancien mannequin en « scout »

Le métier de « scout » dans le mannequinat consiste à trouver la perle rare qui va devenir mannequin et qui va passer ensuite entre les mains d’une agence. Un ancien mannequin, a commencé vers l’âge de 18 ans, et avait travaillé comme top model pendant 8 ans. A la fin de sa carrière à 33 ans, elle s’est reconvertie en « scout », et déniche désormais les modèles de demain pour le compte d’une agence  à la fin de sa carrière. Aucune école, aucun diplôme n’existe pour cette profession. On ne recrute pas sur le CV, mais sur l’expérience, le vécu et la connaissance du milieu du mannequinat. C’est aussi et surtout une question d’œil, et d’intuition. N’importe qui peut s’improviser « scout » à partir du moment où il arrive à présenter des filles intéressantes et prometteuses aux agences de mannequins.

Reconversion dans le monde des affaires

Elles ont défilées sur la plupart des podiums, et ont portées les créations des plus grands stylistes. A l’heure de la reconversion, elles ont été assez lucides pour ne pas se cantonner dans le rôle d’une simple poupée. Ambitieuses et souvent amies avec les couturiers et autres promoteurs, ces beautés ont réussi à investir le milieu des affaires en ouvrant des boutiques de prêt-à-porter ou des instituts de beauté. Certaines ont même pensé à leur reconversion, car après des études en esthétique et en décoration intérieure, elles ont réussi à ouvrir un institut de beauté. D’autres, à l’heure de la retraire, ont mis leur sens inné de l’élégance et leur énergie créatrice au service des «victimes de la mode».

Haro sur le petit écran

Leur meilleur atout ? Leur beauté et leur bonne présentation. La mode pour elles est moins une passion dévorante qu’un business lucratif qu’elles perpétuent à la télévision. Leurs noms sont devenus un gage d’audiences pour des téléspectateurs plus friands de forme que de fond.

De leurs années de mannequinat, ces mannequins ont conservé une prestance télégénique et un corps bien fait ; des arguments fatals pour vendre au public leur émission.

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